L'avoine pour combattre l’hypercholestérolémie

Sous forme de flocon, c'est la céréale idéale du petit-déjeuner car son profil n'a rien à voir avec les « fausses » céréales transformées qui sont le plus souvent grasses et sucrées.

Très riche en fibres et notamment bien pourvue en bêta-glucane, une fibre soluble, l'avoine participerait à réduire le taux de cholestérol sanguin.
D'ailleurs, depuis 1997 et sur la base de diverses études sur le sujet, la Food and Drug administration (FDA) autorise deux allégations portant sur les vertus hypocholestérolémiantes de l'avoine et notamment sur le fait que dans le cadre d'un régime alimentaire sain les fibres solubles peuvent réduire le risque de maladies coronariennes (1).

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Vais-je entendre mieux si je mange du poisson ?

La consommation de poisson au moins 2 fois par semaine diminuerait le risque de perte d’audition liée au vieillissement. Le vieillissement naturel de l’oreille conduit à une perte auditive, la presbyacousie.

C’est un phénomène très répandu et invalidant. L’identification de plusieurs facteurs de risque a permis de déterminer de potentiels moyens de prévention. Dans cette nouvelle étude parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les auteurs rapportent que manger 2 portions ou plus de poisson par semaine permet de diminuer le risque de perte auditive chez les femmes.

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Les mauvaises habitudes alimentaires détournent des aliments sains

C’est la démonstration, sur l’animal, de l’effet addictif de la junk food ou malbouffe qui finit même, à force de consommation, à biaiser le circuit de la récompense au point qu’il boude les autres aliments plus sains.

Ces conclusions, publiées dans la revue Frontiers of Psychology, vont dans le sens d’une approche de l’obésité comme une forme de dépendance alimentaire. De précédentes études ont déjà apporté des preuves ou suggéré que la consommation excessive de nourriture conduit à une neuroadaptation des circuits de la récompense.

En fait, une surconsommation ou hyperphagie affaiblit peu à peu la capacité de contrôle de soi.
Dans cette étude, les chercheurs de l’Université de Sydney démontrent que ce phénomène se vérifie aussi de manière spécifique pour la junk food au point d’inhiber toute récompense pour les autres types d’aliments.
Leur expérience montre que des rats submergés de malbouffe, non seulement, deviennent obèses, mais perdent l'appétit pour une alimentation équilibrée.
La professeure Margaret Morris, chef de pharmacologie de la Faculté des sciences médicales de l'UNSW (Australie) a conditionné de jeunes rats mâles à associer 2 indices sonores spécifiquement avec une saveur particulière, celle de la cerise et du raisin.

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Le bio serait (vraiment) meilleur pour la santé

Jusqu’à présent, peu d’études étaient arrivées à démontrer les réels bénéfices sur la santé d’une consommation de produits bio.

C’est chose faite grâce à une équipe de chercheurs de Newcastle publiée dans le British Journal of Nutrition.

Selon eux, les fruits, légumes et céréales bio auraient des concentrations en antioxydants plus élevées et contiendraient moins de cadmium (un métal lourd) et logiquement, moins de pesticides. Les antioxydants sont des composés que l’on trouve dans les fruits et légumes et qui aident à lutter contre les radicaux libres.

Pour réussir à enfin trancher sur l’intérêt nutritionnel des aliments bio, les chercheurs ont décidé d’analyser en détail 343 études portant sur les différences entre les aliments bio et conventionnels.

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